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Des cadenas en porcelaine dans Limoges

Durée : 4min 12sec | Postée : 27/11/2015 | Chaîne : Culture festivité
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Dans le cadre du projet « et + si affinité » programmé par les associations LAC&S lavitrine et Esprit Porcelaine, vendredi 20 novembre, au musée national de la porcelaine Adrien Dubouché, Guy Meynard et Mathias Le Royer ont posé un cadenas en porcelaine sur le portail du musée.
Pour ce projet « et + si affinité », ils ont choisi d’associer le durable et l’éphémère en rapprochant leurs pratiques respectives ; pour l’un, la porcelaine et les arts de la table et pour l’autre, des interventions dans l’espace public.
Ce travail a débuté par la fabrication de cadenas en porcelaine, qui ensuite ont été disposés sur du mobilier urbain afin de nourrir une réflexion sur l’aménagement du territoire et sur la présence de la porcelaine dans les rues de Limoges. Chaque dispositif fait partie d’un ensemble d’interventions qui se succèdent dans un secteur localisé de la ville et sur une durée déterminée. Cette succession dans le temps rend le principe actif en permanence. Ces installations, de part leur caractère éphémère sont photographiées et sont restituées grâce à une série d’images qui témoigne du renouvellement en continu des cadenas qui voyagent d’un lieu à un autre.
Ces assemblages sont ensuite abandonnés et par conséquent leur durée de vie oscille entre quelques heures et plusieurs semaines. 


1.Posté par bastien le 03/12/2015 17:42
supernul et supermoche, en plus le cadenas ferme pas. Pauvres garçons, le désert de la porcelaine.

2.Posté par fermeture le 05/12/2015 12:43
Il y a combien de femmes pour assister les deux cadenassiers ? Ils n'ont pas l'air très habiles de leurs outils ? Beaucoup de partenaires et si peu de public ! C'est pas un peu égo égo solitude tout cela ?

3.Posté par fermeture le 05/12/2015 12:45
Plassans, quand il s’était bien cadenassé, se disait : « Je suis chez moi ». — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1870)

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