Exposé désormais à Pékin et dans quelques autres musées autour du monde comme le musée de l'Ermitage à Saint Petersbourg en Russie, Pierre Christel demeure modeste et redis que l'émail est venu, presque, par hasard dans les années 90. Cela c'est passé pendant une année de pause, avec un four délaissé par son père. D'essais réussis en échecs le bonhomme s'est confronté au feu. Aujourd'hui il est un maître du feu. Actuellement l'émailleur prépare une exposition à venir pour l'automne. uniquement des pièces de formes. Des vases, des formats imposants pour qui connaît l'émail. En attendant de découvrir les pièces terminées voici un petit bout de voile levé dans l'atelier.