Léonard Limosin en timbres
Durée : 2:35 | Postée : 06/02/2015 | Chaîne : Culture festivité
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Tags : 7ALimoges, Limoges, "ville de limoges", "musée des beaux-arts de limoges", "Léonard Limosin", "La Poste", "Union philatélique de Limoges"
Le bloc de 2 timbres « Léonard Limosin, émailleur du roi » met en avant une personnalité majeure de l’art de l’émail à Limoges.
Inscrit dans la série de timbres dite « artistique », il s’articule autour de trois créations de Léonard Limosin :
- le jugement de Pâris : plat émail peint sur cuivre d'après une composition de Raphaël, 1562, qui constitue le timbre situé à gauche sur le bloc - la Sibylle d’Erythrée : plaque émaillée, v.1535-1540, qui compose le timbre situé à droite sur le bloc - échiquier / jeu de trictrac, 1537 : détail du jeu dont sont tirés les contours du bloc
Imprimé à 725 000 exemplaires pour une valeur faciale de 3,80 €, il sera disponible dans la plupart des bureaux de poste, sur internet (www.laposte.fr/timbres) et par correspondance à partir du 2 mars.
Une vente avant-première les 27 et 28 février 2015
Avant sa sortie nationale, le bloc de 2 timbres « Léonard Limosin, émailleur du roi » sera proposé à la vente en avant-première dans un bureau de poste temporaire installé au sein de la mairie de Limoges, salle Longequeue.
Une vente avant-première les 27 et 28 février 2015
Avant sa sortie nationale, le bloc de 2 timbres « Léonard Limosin, émailleur du roi » sera proposé à la vente en avant-première dans un bureau de poste temporaire installé au sein de la mairie de Limoges, salle Longequeue.
Léonard Limosin est un peintre, émailleur, dessinateur et graveur français du XVIe siècle, né vers 1505 à Limoges, mort en janvier 1575 (date incertaine).
On ne sait rien de sa formation. Certains avancent qu'il pourrait avoir été l'élève de l'émailleur Nardon (Léonard) Pénicaud, orfèvre et émailleur mentionné de 1493 à 1541.
Son parcours au service des rois de France, de François Ier à Charles IX, marque l'apogée d'une technique forgée à la Renaissance et typiquement française : l'émail peint sur cuivre.
On ne sait rien de sa formation. Certains avancent qu'il pourrait avoir été l'élève de l'émailleur Nardon (Léonard) Pénicaud, orfèvre et émailleur mentionné de 1493 à 1541.
Son parcours au service des rois de France, de François Ier à Charles IX, marque l'apogée d'une technique forgée à la Renaissance et typiquement française : l'émail peint sur cuivre.
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